Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Fragments d'1/3 parallèle

28 mars 2007

Souvenirs épars

1er souvenir : le cube en carton. Je suis dans une grande pièce et je fabrique un cube en carton avec la plaquette de Théo. Je me dis que ça ne sert à rien, que c'est inutile. Dans la foulée, nous montons aussi des meubles en carton de différentes couleurs. J'aime bien le vert, nous pouvons transformer à volonté les formes et les couleurs. Second souvenir : Les gitans. Tout est très flou... Un camp de gitans... Un aller-retour : au retour, un baiser avec une jeune fille blonde aux cheveux frisés, très agréable... Des gitans qui ramènent leur butin... une grande plaine... Des passages à travers les buissons... Dans le premier rêve : brancher, débrancher un ordinateur, construire, transformer. Dans le second : voler des objets, les ramener, observer, se cacher... ne pas juger, ne pas avoir peur...
Publicité
Publicité
19 mars 2007

5 rêves

Je me suis réveillé plusieurs fois dans la nuit, chaque réveil était accompagné d'un rêve.
J'ai eu une drôle de pensée ce matin au réveil ou plutôt dans un demi-sommeil : cette nuit m'a fatigué, il est temps que je me lève pour me reposer un peu. Je commence à penser à l'envers...

1er réveil.
Rêve d'aventure en extérieur.
De l'eau, une rivière, Richard et Nathalie. Quelqu'un que nous voulions éliminer mais qui se transformait tout le temps, qui était indestructible. Nous lui tendions des pièges...

2eme réveil.
Une soirée, des gens à l'intérieur d'une pièce. Lieu inconnu, gens inconnus. Je m'approche d'une table, les gens mangent et parlent. Ils sont un peu snobs et prétentieux.
- Idée : je sors d'un endroit pour aller dans un autre qui serait le même mais situé ailleurs... -
Je sors. Il fait nuit, je rejoins quelqu'un. C'est Philippe, Nours (je ne suis pas sur), il est en voiture, la mienne apparemment. Il m'attend et quand j'arrive, il démarre  et avance un peu. Ça le fait beaucoup rire et tout ça dure un petit moment. Nous devons aller à "Ville de Petrabugno" - qui est un bar musical - , mais j'abandonne l'idée et décide de retourner d'où je viens (Un lieu qui pourrait être "Ville" au bord de mer, d'où l'idée énoncée plus haut). Il est tard, ou tôt, le jour se lève. Je dois passer par des terrasses avec des couloirs et des escaliers. Je marche derrière deux personnes qui, elles, rejoignent très vite l'intérieur, alors que moi, j'ai un mal fou à avancer. Les, ou plutôt, le couloir est étroit et je gêne des gens qui dorment car à mon passage je me frotte contre leurs stores en bambou. Je ne peux pas faire autrement puisque je suis à quatre pattes et que ça ralentit déjà ma progression, si en plus je dois faire attention de ne pas déranger... J'entends des gens maugréer. Je passe le premier couloir qui débouche  sur une petite terrasse ou pièce. Je renverse un bidon. Une tache se forme au sol que j'essaie d'essuyer avec ce qui me tombe sous la main. J'ai l'impression d'avoir fait une bêtise et d'essayer gauchement de la dissimuler.
Je n'ai pas le temps d'arriver jusqu'à la pièce d'où tout le monde, enfin, deux ou trois personnes sortent. Il est trop tard, ça ferme, il va falloir aller ailleurs.
J'ai peur qu'au retour, ils se rendent compte que j'ai renversé le bidon, mais il ne se passera rien...

3eme réveil.
Aline me demande d'essuyer le comptoir dans un lieu qui pourrait être l'auberge mais qui ne l'est pas. Je m'exécute et dans un excès de zèle, j'essuie le visage de quelqu'un qui se trouve au bout du comptoir. Il est grand, costaud, a une tête de méchant et me dit : "Tu m'aurais fait ça, y'a dix ans..."
Gêné, mal à l'aise, j'essaie de rattraper ma connerie, en essuyant tout ce qui se trouve autour de moi. Je me dirige vers les toilettes, tout en pensant : " je ne vais quand même pas faire le ménage des chiottes maintenant." Je me dirige vers le lavabo et je vois la cuvette des chiottes remplie d'étrons flottants incrustés de grains de maïs  Je les observe et pense que le maïs doit vraiment être indestructible pour se retrouver intact à la fin de la chaine de digestion. Je décide de pisser un coup, mais pendant que je suis en train d'uriner, je me rends compte que les w.c. ont disparus de l'endroit où il se trouvait, et que j'urine dans un seau en zinc où se trouve des épis de maïs. Une porte s'ouvre à l'endroit où se trouvait la cuvette et une voiture arrive tous feux allumés. J'ai juste le temps de vider l'urine du seau, qui est plutôt un vase ou un broc en zinc, dans le lavabo et de sortir des toilettes. Je pense qu'on m'a vu mais pas reconnu car j'étais assez leste.

4eme réveil.
Je suis chez Félix, mais ce n'est pas chez lui. Je voudrai prendre une douche. Il se passe un truc bizarre : je rentre dans la douche, mais je ne sais pas pour quelle raison, je tire tout dans le couloir, enfin le bac, la douchette et moi, pour me rapprocher d'une autre douche que je n'arrive pas à atteindre. J'essaie de ne pas mettre d'eau partout ce qui s'avère difficile. Détail : sur la tablette au dessus du lavabo, il y a trois figurines de Corto Maltese dont celle qui orne mon porte-clés.

5eme réveil.
J'attendais quelqu'un, assis à une table au bord de la mer, dans un endroit qui ressemblait à celui du second rêve. Une famille vint s'assoir à une des tables voisines de la mienne et se mirent à manger. Par terre, il y avait un homme, mais tout petit, que je ne connaissais pas, dont je voyais très bien chaque trait du visage mais que je serais incapable de décrire. Il était si petit qu'il pouvait sodomiser ce scarabée noir. La petite fille, celle qui était à table avec la famille, semblait très amusée par la scène. Le petit homme en avait fini avec le scarabée et on pouvait le voir nu, avec sa petite érection. Il était mignon comme tout, pas du tout obscène. comme quoi tout est affaire de proportions...Il retrouvait petit à petit, une taille normale, et nous expliquait que pour qu'il rapetisse, il suffisait de lui tirer sur les poils de l'avant-bras, ce que ce fit un plaisir de faire le petit garçon de la famille. Aussitôt, il devint tout petit en se plaignant car le petit garçon lui avait tirer les poils un peu trop fort. Le petit homme était un rouquin, poilu, au corps bien proportionné et au visage sympathique.

Au 6eme réveil un détail (?) m'a rappelé que l'on ne voyait rien dans les rêves et que c'est seulement le cerveau qui fabriquait toutes ces "sensations"...

12 mars 2007

Réflexions

Cette nuit, mon rêve avait une fin...
Je peux être à endroit puis l'instant qui suit dans un autre complètement éloigné. J'épouse différents points de vue : je suis plus la caméra, le témoin, que l'acteur, quoique je joue tous les autres personnages. Je ne suis qu'une multiplication des reflets ou plutôt des facettes, changeantes, mouvantes, libres.

10 mars 2007

4x4, mitraille, noyade et téléportage

Embuscade et noyade.
Sur la route de Moltifao, juste après l'auberge, nous suivons un gros 4x4 noir. Une voiture apparaît et coupe la route. Le 4x4 bifurque, prend un chemin de terre et une poursuite s'engage. Le feu s'ouvre immédiatement : ça canarde dans tous les sens ! Je me retrouve à pied dans la forêt, à slalomer entre les balles. Où que j'aille, même si je ne vois rien, des balles sifflent à mes oreilles. Sur un chemin, je croise un homme qui semble être un flic. Je me rends à lui ou celui-ci m'arrête, je ne sais plus très bien...
Nous nous baignons dans une rivière. Nous sommes plusieurs dans l'eau. A côté de moi, un enfant un peu gros flotte. En fait, il s'était noyé, nous nous en rendons compte quand il coule à pic et reste au fond de l'eau...
Dans un transport en commun, j'essaye d'expliquer à Aline, à quel endroit s'est engagé le 4x4. Nous demandons autour de nous pour savoir si cette route, ou le lieu à laquelle elle conduit, a un nom. Quelqu'un nous renseigne et nous nous transportons, nous retrouvons, immédiatement en cet endroit...

9 mars 2007

Aline, éléonore, la musique, le serveur

Le rêve est souvent en chronologie inversée : on se rappelle d'abord du dernier, celui d'avant le réveil - non seulement - mais aussi de la dernière scène, dont acte.
Aline, (Eléonore) qui représente l'amour, ou l'image de l'amour féminin, le grand amour, l'inaccessible, enfin... Donc je reprends, Aline est sur une terrasse et pose sa tête sur l'épaule d'un homme. Sentiment de jalousie. Je descends l'étage. Il y a de la musique. C'est un peu mou. Je danse mollement. On me le fait remarquer alors je me mets à danser en vitesse accélérée et je fais des choses incroyables. Malheureusement, il n'y a personne pour voir ça. J'appelle autour de moi (Aline je crois) mais personne ne vient. Pour passer de la musique, j'ai mis les morceaux dans des bouteilles que j'ai enterrées, malheureusement elles se sont décalées et ne correspondent plus aux titres notés sur les étiquettes posées à même le sol. J'essaye d'arranger ça mais n'y arrive pas...
Je rencontre quelqu'un, ou plutôt je le rejoins, dans un endroit qui est comme un lieu de travail. Nous décidons d'aller ensemble manger dehors. nous trouvons un restaurant en plein air avec une ambiance champêtre. Nous nous installons à table. Comme on tarde à venir nous servir, je prends la place du serveur pour m'amuser. Puis petit à petit, je le deviens vraiment, les gens m'appellent et je prends leurs commandes...

Publicité
Publicité
8 mars 2007

Pierres, élasticité, projections et expulsions

Un bâtiment, une ferme, un hangar. Nous rentrons. Je me souviens de Jérome qui m'accompagne. Je me baisse pour ramasser des pièces de monnaie. Une voiture arrive. Des gens rentrent dans la bâtisse et se mettent au travail. A l'intérieur tous les murs et les plafonds sont en pierres apparentes. Deux jeunes gens prennent place, chacun à la base d'un pilier en pierre, et s'y intègrent complètement : ils font corps avec celui-ci, le dirigeant et l'orientant à leur guise, d'une façon "élastique". Apparemment, c'est leur métier. Il y a d'autres personnes - des collègues de travail - dans les murs et au plafond, qui justement est secoué énergiquement. Je vois des pierres se décrocher, puis se remettre en place d'une façon tout aussi "élastique". Les ouvriers vérifient que tout est bien fixé. Tout le monde s'amuse bien, les rires fusent dans la joie et la bonne humeur. Alors qu'un des ouvriers vérifie le mur de soutien, les pierres partent à l'horizontale mais ne se remettent pas en place. Plus rien n'est élastique et les pierres s'éjectent violemment, affaiblissant l'édifice pendant que tout le monde fournit des efforts pour le soutenir. Mais à chaque déplacement des pierres tombent affaiblissant la structure. Bientôt, il n'y a plus rien à faire, l'édifice vacille et s'écroule, enfin ne s'écroule pas vraiment car tout part part à l'horizontale avec une force prodigieuse, tout est expulsé ! Nous, c'est à dire moi, n'avons pas le temps de sortir et de nous protéger, ou bien de partir en voiture me semble-t-il...

7 mars 2007

Les îles, Lizzarazu, la psyché, les mateurs

Après s'être échappé, mon rêve me revient très clairement. Nous étions dans les îles (moi et mes autres). Un de mes autres était Lizzarazu - le joueur de foot - qui faisait des choses insensées, incroyables avec son corps - une démonstration d'énergie physique. Sur le sable, au bord de l'eau, il pompait, pirouettait, tournicotait, sur un bras, sur une jambe, élastique et increvable. Je crois quand même qu'il faisait tout ça pour les beaux yeux d'une femme. Une fois sa démonstration terminée, même pas fatigué, il repartit en courant.
Des gros avions passaient au dessus de la plage pour atterrir derrière les montagnes. Il y avait une histoire de jour, de nuit et de baignade dont je ne me souviens pas bien. Il y avait aussi Serge avec qui je parlais de rock anglais : des Clash, des Stranglers. Nous étions toujours sur lîle, je rentrais dans des chambres et ouvrais des tirroirs à la recherche de sous-vêtements qui m'appartiendraient. Je n'en trouvais pas et empruntais ceux de Fabrice. C'est alors qu'Aline arriva. Elle esayait une tenue tout en se regardant dans une psyché. Elle me demandait mon avis et je la conseillais. Seulement en contrebas, des tas de mecs la mattaient et nous étions génés...

6 mars 2007

Trou noir

Gros trou noir ce matin. Rien ne vient, pas la moindre bribe à laquelle me raccrocher...

5 mars 2007

La voiture à Tarentino

Beaucoup de rêves, car très longue nuit mouvementée. Ils sont tous différents et pourtant on dirait qu'ils sont liés les uns aux autres.
Celui qui semble être le premier, ou du moins le plus lointain (celui dont je me souviens le moins) :
Une maison, intérieur-extérieur, quelque chose de caché ou à cacher qui sera découvert plus tard. Ambiance oppressante - merde, impossible de noter, j'ai l'esprit qui part dans tous les sens, je n'ai aucune concentration.
Le rêve de Tarentino : quelqu'un raconte le dernier film de Tarentino et voilà que nous le vivons réellement. Histoire de voyou, de meurtre (très original !). Une voiture qui saute par dessus des escaliers et qui plane sans un bruit pour atterrir impeccablement sur une route de campagne; juste un coup de volant, un petit coup de frein et la voila dans le droit chemin qui conduit à la maison du drame. Pendant que nous montons (mais sommes-nous plusieurs ?) se déroule en simultané les scènes de meurtre car ce sont plusieurs personnes qui se font éliminer par une bande organisée. Donc, nous arriverons trop tard...

3 mars 2007

Le vent, le feu, les troncs d'arbre et les bébés renard

Juste quelques accroches, essayer de noter plus tard.
Le vent, des rafales hyper-violentes, des brasiers qui se rallument, au nombre de 4 dont le plus fort et le plus lointain. Extinction du premier feu avec une grande toile mouillée. Je ne participe pas, je suis spectateur et j'ai peur.
Jacky saute sur des troncs d'arbre. Il a racheté une exploitation de chêne liège. Je le suis. Nous faisons des bonds élastiques (pas très haut mais bien souple). Jacky glisse et se fait mal. Je m'arrête net. J'ai encore peur.
Des jeunes chassent le renard, en fait, des bébés renards...

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 7 8 > >>
Fragments d'1/3 parallèle
Publicité
Archives
Publicité