Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Fragments d'1/3 parallèle
19 mars 2007

5 rêves

Je me suis réveillé plusieurs fois dans la nuit, chaque réveil était accompagné d'un rêve.
J'ai eu une drôle de pensée ce matin au réveil ou plutôt dans un demi-sommeil : cette nuit m'a fatigué, il est temps que je me lève pour me reposer un peu. Je commence à penser à l'envers...

1er réveil.
Rêve d'aventure en extérieur.
De l'eau, une rivière, Richard et Nathalie. Quelqu'un que nous voulions éliminer mais qui se transformait tout le temps, qui était indestructible. Nous lui tendions des pièges...

2eme réveil.
Une soirée, des gens à l'intérieur d'une pièce. Lieu inconnu, gens inconnus. Je m'approche d'une table, les gens mangent et parlent. Ils sont un peu snobs et prétentieux.
- Idée : je sors d'un endroit pour aller dans un autre qui serait le même mais situé ailleurs... -
Je sors. Il fait nuit, je rejoins quelqu'un. C'est Philippe, Nours (je ne suis pas sur), il est en voiture, la mienne apparemment. Il m'attend et quand j'arrive, il démarre  et avance un peu. Ça le fait beaucoup rire et tout ça dure un petit moment. Nous devons aller à "Ville de Petrabugno" - qui est un bar musical - , mais j'abandonne l'idée et décide de retourner d'où je viens (Un lieu qui pourrait être "Ville" au bord de mer, d'où l'idée énoncée plus haut). Il est tard, ou tôt, le jour se lève. Je dois passer par des terrasses avec des couloirs et des escaliers. Je marche derrière deux personnes qui, elles, rejoignent très vite l'intérieur, alors que moi, j'ai un mal fou à avancer. Les, ou plutôt, le couloir est étroit et je gêne des gens qui dorment car à mon passage je me frotte contre leurs stores en bambou. Je ne peux pas faire autrement puisque je suis à quatre pattes et que ça ralentit déjà ma progression, si en plus je dois faire attention de ne pas déranger... J'entends des gens maugréer. Je passe le premier couloir qui débouche  sur une petite terrasse ou pièce. Je renverse un bidon. Une tache se forme au sol que j'essaie d'essuyer avec ce qui me tombe sous la main. J'ai l'impression d'avoir fait une bêtise et d'essayer gauchement de la dissimuler.
Je n'ai pas le temps d'arriver jusqu'à la pièce d'où tout le monde, enfin, deux ou trois personnes sortent. Il est trop tard, ça ferme, il va falloir aller ailleurs.
J'ai peur qu'au retour, ils se rendent compte que j'ai renversé le bidon, mais il ne se passera rien...

3eme réveil.
Aline me demande d'essuyer le comptoir dans un lieu qui pourrait être l'auberge mais qui ne l'est pas. Je m'exécute et dans un excès de zèle, j'essuie le visage de quelqu'un qui se trouve au bout du comptoir. Il est grand, costaud, a une tête de méchant et me dit : "Tu m'aurais fait ça, y'a dix ans..."
Gêné, mal à l'aise, j'essaie de rattraper ma connerie, en essuyant tout ce qui se trouve autour de moi. Je me dirige vers les toilettes, tout en pensant : " je ne vais quand même pas faire le ménage des chiottes maintenant." Je me dirige vers le lavabo et je vois la cuvette des chiottes remplie d'étrons flottants incrustés de grains de maïs  Je les observe et pense que le maïs doit vraiment être indestructible pour se retrouver intact à la fin de la chaine de digestion. Je décide de pisser un coup, mais pendant que je suis en train d'uriner, je me rends compte que les w.c. ont disparus de l'endroit où il se trouvait, et que j'urine dans un seau en zinc où se trouve des épis de maïs. Une porte s'ouvre à l'endroit où se trouvait la cuvette et une voiture arrive tous feux allumés. J'ai juste le temps de vider l'urine du seau, qui est plutôt un vase ou un broc en zinc, dans le lavabo et de sortir des toilettes. Je pense qu'on m'a vu mais pas reconnu car j'étais assez leste.

4eme réveil.
Je suis chez Félix, mais ce n'est pas chez lui. Je voudrai prendre une douche. Il se passe un truc bizarre : je rentre dans la douche, mais je ne sais pas pour quelle raison, je tire tout dans le couloir, enfin le bac, la douchette et moi, pour me rapprocher d'une autre douche que je n'arrive pas à atteindre. J'essaie de ne pas mettre d'eau partout ce qui s'avère difficile. Détail : sur la tablette au dessus du lavabo, il y a trois figurines de Corto Maltese dont celle qui orne mon porte-clés.

5eme réveil.
J'attendais quelqu'un, assis à une table au bord de la mer, dans un endroit qui ressemblait à celui du second rêve. Une famille vint s'assoir à une des tables voisines de la mienne et se mirent à manger. Par terre, il y avait un homme, mais tout petit, que je ne connaissais pas, dont je voyais très bien chaque trait du visage mais que je serais incapable de décrire. Il était si petit qu'il pouvait sodomiser ce scarabée noir. La petite fille, celle qui était à table avec la famille, semblait très amusée par la scène. Le petit homme en avait fini avec le scarabée et on pouvait le voir nu, avec sa petite érection. Il était mignon comme tout, pas du tout obscène. comme quoi tout est affaire de proportions...Il retrouvait petit à petit, une taille normale, et nous expliquait que pour qu'il rapetisse, il suffisait de lui tirer sur les poils de l'avant-bras, ce que ce fit un plaisir de faire le petit garçon de la famille. Aussitôt, il devint tout petit en se plaignant car le petit garçon lui avait tirer les poils un peu trop fort. Le petit homme était un rouquin, poilu, au corps bien proportionné et au visage sympathique.

Au 6eme réveil un détail (?) m'a rappelé que l'on ne voyait rien dans les rêves et que c'est seulement le cerveau qui fabriquait toutes ces "sensations"...

Publicité
Publicité
Commentaires
Fragments d'1/3 parallèle
Publicité
Archives
Publicité