Le loup, le cow-boy, les cheveux, le cercle

La chanson du loup solitaire, qui m'a fait pleurer, quand à la fin, j'apprends qu'il est amoureux de son ombre, et qu'il ne le sait pas.

Je devais jouer dans un endroit et réaliser des prospectus pour faire venir du monde, l'entrée devait être gratuite.
Le prospectus de la soirée précédente, était composé de deux calques superposés, dont l'un était un costume de cow-boy, qui avait l'aspect d'une rose rouge.

Je tombais amoureux de mon ancienne copine de classe, "Fabienne", qui avait maintenant quarante ans, avait grossi, mais était toujours belle et désirable.
Elle s'asseyait sur moi, je la caressais et l'embrassais.
Elle ne voulait pas que je lui touche les cheveux, car je la décoiffais, et elle disait qu'elle mettait des heures à se coiffer.
J'inventais et défendais une nouvelle théorie : "La théorie des cercles" , qui prônait que l'essentiel se trouvait dans le premier et le plus petit cercle, et que les autres découlaient de ce cercle, et n'était donc, qu'une projection complémentaire.

Je réfutais ainsi, l'architecture d'un projet en arborescence ...