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Fragments d'1/3 parallèle
24 décembre 2006

Le Danger, le cunilingus, la fellation et l'odeur

Rêve d'une planète où règne le danger en permanence. Nous sommes un clan, une tribu, et devons veiller les uns sur les autres. Nous pouvons grimper aux arbres pour nous cacher, mais comme c'est la saison où ils deviennent secs et déplumés (?), ça devient dangereux car d'énormes félins peuvent y grimper aussi.
A un moment, il y a un exode, et nous sommes diminués, affaiblis. Nous n'avons plus de chiens pour nous prévenir du danger, plus d'armes pour nous défendre, et nous sommes en nombre trop limité pour y faire face ( bien que le danger ne se manifeste que rarement, il arrive, il repart, mais il est omniprésent). Nous déambulons dans les rues de St-Barnabé et je propose de dormir dans un appartement pour un soir, car nous serions plus en sécurité, vu les circonstances.
Ma tante Jeannine n'est pas d'accord, prétextant qu'il vaut mieux faire face, que ça fait partie du jeu. Tout à coup, elle bascule en arrière et je me retrouve la tête entre ses jambes, lui faisant un cunilingus et son sexe est sur-dimensionné. Je prends un plaisir immense à la lécher, la caresser; je lui rentre doucement un doigt dans l'anus et elle aime ça autant que moi.
J'ai l'impression que nous sommes plusieurs, que je me démultiplie ou "nous" démultiplions car pendant que je continue elle est en train de me faire une fellation. Le plaisir et la volupté s'accentue jusqu'à ce que mon père apparaisse en disant que mon oncle a toujours la même odeur, ce qui est péjoratif dans sa bouche, une odeur acre et douceâtre de mauvaise haleine, et voilà que mon oncle apparaît et traverse la pièce...

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