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Fragments d'1/3 parallèle
11 novembre 2006

L'imposteur, l'appartement, la boue

Ca se passait dans un appartement qui ressemblait fortement au mien, en tout cas, c'était chez moi.
Il y avait plusieurs pièces et je découvrais que quelqu'un s'était dissimulé dans la chambre du fond, à mon insu, car lorsqu'on verrouillait la porte, celle-ci pouvait s'ouvrir le chambranle étant du mauvais côté. (?)
Je découvrais tout ça, alors que quelqu'un que j'attendais venait de me rejoindre et nous démasquions l'imposteur (?), le faisions partir, non, il avait disparu de lui-même, grâce à l'aide d'un voisin qui nous mît au courant du problème d'ouverture-fermeture.
L'imposteur en question, celui qui se cachait, je ne l'ai pas vu, mais c'était Muriel et en même temps Laurence. Nous nous installions dans l'appartement avec la personne qui venait de me rejoindre : c'était ma soeur qui commençait à déplacer les meubles pour nettoyer le sol, au bord des plinthes, qui était crasseux.
Je lui disais qu'elle n'allait pas commencer, que j'avais envie de continuer de vivre comme avant, que je voulais, continuer à manger du pain en mettant des miettes partout, si je le désirais.
Sur ce, nous nous aperçûmes que l'appartement avait un problème : il n'avait pas la même disposition que les autres qui étaient tous du même type.
Voici un plan sommaire, non c'est impossible car il se modifiait d'un moment à l'autre, tout en restant le même. La pièce où se dissimulait Muriel-Laurence avait disparu et s'était transformée en cuisine et c'est là qu'il y avait un problème sur le plan par rapport aux autres. Nous décidions d'attaquer la transformation quand subitement nous nous retrouvâmes dans le jardin (alors que nous étions au dernier étage comme chez moi) avec mon père et Guy Leroux (l'entraineur de foot, à moins que ce ne soit mon oncle Guy).
Alors qu'ils préparaient le terrain pour jouer au foot et à la pétanque en même temps, nous n'étions pas d'accord sur la façon dont j'avais jeté le bouchon. Je leur faisais remarquer que la pelouse était grasse et comme je sautais à pieds-joints,  mes jambes s'enfoncèrent jusqu'aux genoux. J'en ressortis difficilement, enduit d'une boue épaisse et visqueuse. Voyant cela, ils sautèrent eux aussi : un trou étroit et très profond se creusa sous leurs pieds.
Ils disparurent dans une sorte de puits boueux mais ils remontèrent car ils s'étaient enfoncés les uns sur les épaules des autres. Ils étaient au nombre de trois : Guy Leroux, mon père et le dernier me semblait être moi mais en même temps, je continuais d'être témoin de la scène de l'extérieur...

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